Macbeth
Fil en Coulisses habille les jeunes du Lycée Jacques Decour pour leur spectacle Macbeth. Mardi, Marie-Catherine y était pour les essayages et les retouches de dernière minute.
Fil en Coulisses habille les jeunes du Lycée Jacques Decour pour leur spectacle Macbeth. Mardi, Marie-Catherine y était pour les essayages et les retouches de dernière minute.
Pour le projet MACBETH, mené par Vanessa , nous avons réalisé plusieurs costumes qui n’existaient pas dans notre vestiaire. Encore une fois, les costumières se surpassent! Des tuniques, des robes, des accessoires.
La ville de Poissy nous a demandé de participer aux journées du patrimoine, en costumant une partie des comédiens dans les tableaux vivants d’Ernest Meissonier. Nous avons travaillé sur le tableau « un dimanche à Poissy »,
Bien évidemment nous y étions !! toutes costumées et maquillées, heureuses d’échanger avec les participants et de rencontrer également nos amis des autres associations. Des rencontres fructueuses qui nous ouvrent peut être des perspectives. Venez nous voir à l’atelier, n’hésitez pas, montez le petit escalier en colimaçon, qui n’a rien à envier aux marches de
Antoine est venu essayer l’une des vareuses style guerre de Sécession, réalisées pour sa troupe de scouts. C’est une commande de 4 vareuses, deux nordistes et deux sudistes, réalisées par Renée, Sophie, Michelle et Roselyne. Il ne manque plus que les insignes, le ceinturon et la casquette pour compléter l’ensemble.
Ils montent le petit escalier en colimaçon, pénètrent dans l’univers magique des créations…. Ils découvrent ce lieu vivant, peuplé d’ombres venues d’ailleurs, qui attendent pour revivre quelques instants. « Je n’ai pas de costume pour le spectacle ! On ne m’a pas contacté ! ». « Mais si ! Ne t’inquiète pas, une costumière s’occupe
Au moins une fois par semaine, et le soir aussi pendant les répétitions, les costumières sont à l’oeuvre pour ranger, étiqueter, essayer,retoucher. L’atelier est une ruche, toute l’année.
Voici le joli mois de juin qui arrive, et avec lui le plaisir de nous retrouver deux soirs par semaine, à cavaler dans l’herbe mouillée, bien au chaud dans nos polaires et nos doudounes d’été, sous nos petits coins de parapluie et la houlette de Bertrand, notre infatigable et cher metteur en scène. Voilà pourquoi